La star ac du mot
Quand je regarde les bouquins que j’ai acheté cette année, je me rends compte que je n’ai pas eu le courage d’en lire la moitié jusqu’au bout. Autant écrire soit même ! ...
Passons aux confidences....
Je suis depuis un moment obsédé par le mot mot. Pas Momo le fils du voisin ! Le mot mot. Enfin bref, pas de quoi écrire un poème! (…)
Quand on met des mots les uns à côté des autres ça donne des lignes, des pages et par continuité des livres.
Et les livres c’est pas ce qui manque en cette rentrée littéraire. Rentrée littéraire mais comme chaque année les classes sont surchargées! 689 livres!!! Quand j’essaie d’imaginer tous ces livres je pense à la bibliothèque nécessaire pour contenir 689 bouquins. Sic ! C’est autant que le nombre de films produits dans toute l’Europe en une année… Mais je pense aux arbres aussi. Peut on être écrivain et écolo ?
Pour cette rentrée littéraire je ne peux que vous proposer ma sélection de livres (non lus).
Le Temps et la paille de Jean Anglade retrace l’histoire de Jacques Saint-André, né à Ferrières-sur-Sichon (aux confins de l’Allier, de la Loire et du Puy-de-Dôme) d’un père forgeron-maréchal et d’une mère vendangeuse. Jacques Saint- André, sa vie son œuvre !! (et probablement acheté en 3 exemplaires dans la bibliothèque de ma ville de campagne).
Mémoires de Porc-Epic de Alain Mabanckou ou comment vivre avec son alter ego un porc-épic sanguinaire.
Et enfin Salope de pluie de Bastien Fournier dans la catégorie ça donne envie de sortir en ce moment.
A cette avalanche de livres s’ajoute l’avalanche de prix : Goncourt (récompense les auteurs qui ont marqué la littérature française), Renaudot (ouvrage en prose combinant talent et originalité), Fémina (œuvre française en prose ou en poésie), Prix du roman de l’Académie (roman d’un jeune), Medicis (roman, récit ou nouvelles d’un auteur au talent prometteur), Interallié (roman d’un journaliste), le prix Décembre (anciennement Novembre, véridique ! pour le roman indépendant) tous aussi vieux que le Grand Prix de France !
Mis à part quelques auteurs et quelques livres qui démontrent que l’on a pas encore tout écrit, le livre est devenu le média passe partout, où l’on écrit ce que l’on veut, sans perdre trop de temps, nageant entre plagia, négritudes et autres livres alimentaires (Jean Pierre Coffe Bien sur !). Ratissant tous les goûts de la nature, de la télé à la politique, de la star au déchu. Devenant instrument commercial, vitrine des personnages publiques, le pauvre papier voit défiler chaque année et pas qu’à la rentrée des tonnes de blablas autobiographiques de stars inconnues et autres histoires alambiquées.
Finalement 689 bouquins ça n’est pas de trop !
Passons aux confidences....
Je suis depuis un moment obsédé par le mot mot. Pas Momo le fils du voisin ! Le mot mot. Enfin bref, pas de quoi écrire un poème! (…)
Quand on met des mots les uns à côté des autres ça donne des lignes, des pages et par continuité des livres.
Et les livres c’est pas ce qui manque en cette rentrée littéraire. Rentrée littéraire mais comme chaque année les classes sont surchargées! 689 livres!!! Quand j’essaie d’imaginer tous ces livres je pense à la bibliothèque nécessaire pour contenir 689 bouquins. Sic ! C’est autant que le nombre de films produits dans toute l’Europe en une année… Mais je pense aux arbres aussi. Peut on être écrivain et écolo ?
Pour cette rentrée littéraire je ne peux que vous proposer ma sélection de livres (non lus).
Le Temps et la paille de Jean Anglade retrace l’histoire de Jacques Saint-André, né à Ferrières-sur-Sichon (aux confins de l’Allier, de la Loire et du Puy-de-Dôme) d’un père forgeron-maréchal et d’une mère vendangeuse. Jacques Saint- André, sa vie son œuvre !! (et probablement acheté en 3 exemplaires dans la bibliothèque de ma ville de campagne).
Mémoires de Porc-Epic de Alain Mabanckou ou comment vivre avec son alter ego un porc-épic sanguinaire.
Et enfin Salope de pluie de Bastien Fournier dans la catégorie ça donne envie de sortir en ce moment.
Mis à part quelques auteurs et quelques livres qui démontrent que l’on a pas encore tout écrit, le livre est devenu le média passe partout, où l’on écrit ce que l’on veut, sans perdre trop de temps, nageant entre plagia, négritudes et autres livres alimentaires (Jean Pierre Coffe Bien sur !). Ratissant tous les goûts de la nature, de la télé à la politique, de la star au déchu. Devenant instrument commercial, vitrine des personnages publiques, le pauvre papier voit défiler chaque année et pas qu’à la rentrée des tonnes de blablas autobiographiques de stars inconnues et autres histoires alambiquées.
Finalement 689 bouquins ça n’est pas de trop !