Casino Royale
Le James Bond new look est arrivé et tacle au passage les épisodes précédents par un changement radical de tonalité et d’esprit...
Oubliées les scènes d’action démesurées des années 70 à 2002 (Meurs un autre jour le dernier en date) place à plus de réalisme et moins de scènes d’action. Pour preuve une partie de poker dans le fameux Casino Royale d’une durée de près de 45 min à l’écran (mais avec des changements de smoking tachés entre temps). Un film ponctué de quelques montées en action assez violentes dont une incroyable poursuite en free-run au début du film démontrant que le recours aux effets spéciaux n’est plus systématique pour réussir une scène d’action.
Côté personnages le méchant n’est plus un mégalomane volontiers destructeur du monde mais un banquier véreux, la James Bond girl (la française Eva Green) tient pour une fois la tête à James Bond et pour le prix la lui prend en même temps que son cœur.
Quant à Daniel Craig qui incarne pour la 1ère fois James Bond et bien qu’un peu trop carré est beaucoup plus impliqué dans les scènes d’actions que ses prédécesseurs.
Un film plus long, une histoire plus sombre, un revirement radical : c’est même le premier des 21 James Bond dans lequel il pleut…
Oubliées les scènes d’action démesurées des années 70 à 2002 (Meurs un autre jour le dernier en date) place à plus de réalisme et moins de scènes d’action. Pour preuve une partie de poker dans le fameux Casino Royale d’une durée de près de 45 min à l’écran (mais avec des changements de smoking tachés entre temps). Un film ponctué de quelques montées en action assez violentes dont une incroyable poursuite en free-run au début du film démontrant que le recours aux effets spéciaux n’est plus systématique pour réussir une scène d’action.
Côté personnages le méchant n’est plus un mégalomane volontiers destructeur du monde mais un banquier véreux, la James Bond girl (la française Eva Green) tient pour une fois la tête à James Bond et pour le prix la lui prend en même temps que son cœur.
Quant à Daniel Craig qui incarne pour la 1ère fois James Bond et bien qu’un peu trop carré est beaucoup plus impliqué dans les scènes d’actions que ses prédécesseurs.
Un film plus long, une histoire plus sombre, un revirement radical : c’est même le premier des 21 James Bond dans lequel il pleut…