Miami Vice
--> mi-âme mi-vice
Incompréhensiblement présenté comme le blockbuster de l’été (puisqu’il est plus proche du documentaire, avec une ou deux scènes d’action à tout casser), Miami Vice décrit l'infiltration réaliste de deux policiers dans le milieu de la drogue…
Ce qui différencie Miami Vice de tout autre film d’action à la Pirates des Caraïbes c’est la présence derrière les manettes d’un réalisateur. Confèrant comment dire… une âme au film.
Ledit réalisateur c’est Michael Mann déjà auteur de Heat et Collateral qui réalise ici un film brutal et prenant même s’il n’atteint pas l’intensité dramatique des deux films.
Pour les scènes de nuit Mann utilise une caméra HD numérique qui donne alors aux scènes une dimension réaliste, proche du reportage, étonnant pour ce type de film qui n'en reste pas moins un constat de la vente de drogue pesant près de 500 Milliards de dollar.
Les producteurs (pas fous quand même) nous distillent quelques ficelles hollywoodiennes ne serait-ce que pour se venter d'un budget confortable (vas y les belles scènes de bateau et d’avion) et toucher un large public.
On se demande ensuite quel est le rapport avec la série télé « Deux flics à Miami » qui sonne du genre « Starsky et Hutch » ou « Le flic a Beverly Hills » alors que le propos du film exclu tout 2nd degré.
Ce qui différencie Miami Vice de tout autre film d’action à la Pirates des Caraïbes c’est la présence derrière les manettes d’un réalisateur. Confèrant comment dire… une âme au film.
Ledit réalisateur c’est Michael Mann déjà auteur de Heat et Collateral qui réalise ici un film brutal et prenant même s’il n’atteint pas l’intensité dramatique des deux films.
Pour les scènes de nuit Mann utilise une caméra HD numérique qui donne alors aux scènes une dimension réaliste, proche du reportage, étonnant pour ce type de film qui n'en reste pas moins un constat de la vente de drogue pesant près de 500 Milliards de dollar.
Les producteurs (pas fous quand même) nous distillent quelques ficelles hollywoodiennes ne serait-ce que pour se venter d'un budget confortable (vas y les belles scènes de bateau et d’avion) et toucher un large public.
On se demande ensuite quel est le rapport avec la série télé « Deux flics à Miami » qui sonne du genre « Starsky et Hutch » ou « Le flic a Beverly Hills » alors que le propos du film exclu tout 2nd degré.
Commentaires :
lohoju
22-08-06
à 19:39
tu as préféré deux flics ami ami! vilain!
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