Poséidon
--> Armageddon
Une vague retourne le Poséidon un bateau de croisière avec quelques milliers de personnes le soir du 31 décembre. Une poignée de survivant décide de chercher la sortie.
Remake du film des années 70, Poséidon ressemble énormément à Daylight autre pompeur d’idées de films catastrophes.
Côté scénario, la fameuse équipée multi générationnelle rempile (le gosse traînard, le grand père suicidaire, une fille son fiancé et son père…). La mort des uns après les autres et une échappée vers l’extérieur riche en épreuves est une fois de plus semble t-il un passage obligé. Mais bon on n’est pas là pour le scénario et ce qui nous intéresse c’est d’assister à un spectacle et d’en prendre plein la vue.
Et c’est réussi, le bateau est magnifique en image de synthèses (160 millions de dollars quand même), les scènes d’actions s’enchaînent comme les 12 travaux d’Hercules. Mon côté claustro à encore ressurgit lors de l’inévitable scène dans les conduits d’aération et par compassion pour les survivants j’ai retenu ma respiration lors des scènes sous marines pour voir si j’aurais réussi à tenir le coup (on se refait pas).
Finalement lorsque le film touche à sa fin on réalise qu’on ne s’est pas ennuyé un instant.
Bref un film aiguisé comme un trident et dont l’hilarant jeu des incohérences d’après film vous amusera pendant une bonnne demi heure.
Remake du film des années 70, Poséidon ressemble énormément à Daylight autre pompeur d’idées de films catastrophes.
Côté scénario, la fameuse équipée multi générationnelle rempile (le gosse traînard, le grand père suicidaire, une fille son fiancé et son père…). La mort des uns après les autres et une échappée vers l’extérieur riche en épreuves est une fois de plus semble t-il un passage obligé. Mais bon on n’est pas là pour le scénario et ce qui nous intéresse c’est d’assister à un spectacle et d’en prendre plein la vue.
Et c’est réussi, le bateau est magnifique en image de synthèses (160 millions de dollars quand même), les scènes d’actions s’enchaînent comme les 12 travaux d’Hercules. Mon côté claustro à encore ressurgit lors de l’inévitable scène dans les conduits d’aération et par compassion pour les survivants j’ai retenu ma respiration lors des scènes sous marines pour voir si j’aurais réussi à tenir le coup (on se refait pas).
Finalement lorsque le film touche à sa fin on réalise qu’on ne s’est pas ennuyé un instant.
Bref un film aiguisé comme un trident et dont l’hilarant jeu des incohérences d’après film vous amusera pendant une bonnne demi heure.